Quelques questions et réponses…
Pourquoi les cercueils en carton ne sont pas admis par les crématoires romands ?
Selon les centres funéraires officiels, pour assurer une bonne la combustion des corps, un certain volume de bois est nécessaire.
Un centre funéraire peut-il refuser une étagère-cercueil pour une inhumation ou une crémation ?
Il n’existe pas en Suisse de normes légales pour les cercueils, mais des impératifs techniques doivent être respectés, notamment pour ne pas « encrasser » les fours avec des résidus chimiques.
Les ateliers protégés référencés sur ce site ont tous soumis leur modèle d’étagère-cercueil au centre funéraire de leur canton.
Une entreprise de pompes funèbres peut-elle refuser de prendre en charge les funérailles d’une personne ayant acquis une étagère-cercueil ?
Toute entreprise peut refuser un mandat sans devoir se justifier.
Les entreprises sérieuses respectent généralement les volontés des défunts, et des familles, quand elles sont réalisables.
Dans de rares cas, devant être clairement expliqués, il est possible qu’une étagère-cercueil ne puisse être utilisée, notamment en cas de décès loin du domicile.
Existe-t-il des normes à respecter pour les funérailles ?
Les réglementations dépendente des communes.
Globalement, les funérailles peuvent être organisées comme on le désire, notamment chez soi, dans n’importe quel lieu privé, etc.
La créativité peut donc être de mise – il suffit de trouver une entreprise de pompes funèbres ouverte à la nouveauté.
Lire : « Tout sur les obsèques – une législation imprécise »
Quel budget doit-on prévoir pour des funérailles ?
Selon les prestations demandées, le budget peut rapidement atteindre 5 à 6’000 francs. L’émission d’A bon entendeur – RTS – sur le prix de la mort vous expliquera tout, et l’article de la FRC : Pompes funèbres – tous les coûts sont permis mettra les points sur les i ! … tout comme celui de Bon à savoir…
Peut-on utiliser l’étagère à l’extérieur ?
Oui, mais à l’abri de la pluie, et après avoir demandé à la commande un vernis spécial.
