Personnalisation
Les étagères-cercueils peuvent être personnalisées, comme désiré. Signatures de connaissances, textes, peintures, collages, gravures sur bois, tout est possible pour peu que le bon sens et les recommandations (impératives) ci-dessous soient respectées.
- les éléments du couvercle doivent pouvoir être vissés,
- les colles, peintures et vernis éventuels doivent être à l’eau, sans solvants,
- les seuls éléments métalliques pouvant être utilisés dans la réalisation d’un cercueil sont des clous, des vis et des agrafes en métaux ferreux. Les plaques, cornières et autres éléments métalliques sont bannis. Les éventuelles poignées en métal doivent pouvoir être ôtées sans ouvrir le cercueil.
Ces recommandations correspondent aux normes des principaux centres funéraires romands en 2019. Il est impossible de garantir qu’elle ne changent pas dans le temps.
Selon leurs équipements, les ateliers pourront vous proposer des éléments de personnalisation selon votre création, ou une simple mise en couleur à votre choix.
Des artistes sont également à votre disposition pour vous proposer une création à votre image – vous en trouverez une sélection sur cette page.
Bien entendu, il est toujours possible de choisir un cercueil « normal » dans la jolie gamme « Motifs émotionnels » de la maison Egli, principale usine à de cercueils en Suisse (voir reportage ABE).
Finalement, il vous appartiendra d’aménager l’intérieur de votre dernière demeure selon vos goûts.
En Nouvelle-Zélande…
The Coffin Club from Loading Docs on Vimeo.
La plupart des gens ont peur de la mort. Le club néo-zélandais Kiwi Coffin Club y fait face. Fondée par Katie Williams, ancienne sage-femme et infirmière en hospice, les membres construisent puis décorent leurs propres cercueils sur mesure afin de célébrer leur vie et de mettre en valeur leur personnalité unique. Au-delà de la construction du cercueil, le club a construit une communauté forte et solidaire au sein de laquelle les gens peuvent avoir des conversations franches et réfléchir à leur avenir entre membres. Les membres pensent que cette approche plus saine de la mort peut aider d’autres personnes à aborder leur fin de vie.
…et en Grande-Bretagne…
